Pour lier connaissance avec une inconnue, votre coach en séduction vous donne le choix entre la drague sauvage, la drague du dimanche et la drague scientifique, cette dernière étant alors appelée » seduction.  »

La première discrédite les deux autres en servant de tremplin à la bêtise et à la franchise agressive. « Vous avez une silhouette sublime, qu’est ce que vous faites ce soir ? ». Un bon coach en seduction vous éloignera de ce style…. 

La deuxième est simple mais parfois efficace. Elle consiste à utiliser un prétexte existant. Elle lit un livre, et le dragueur se penche vers elle en disant « moi aussi j’aime beaucoup Sartre ! Vous avez lu « les mains sales ? ». Cette drague est la plus courante mais sa spontanéité ne laisse pas suffisamment de place à l’efficacité, car la fille concernée perçoit facilement les « gros sabots », et à défaut de numéro de téléphone, se contente bien souvent de donner un simple sourire au dragueur qui aura essayé de se passer d’un coaching en seduction.

La troisième invente le prétexte de la rencontre, et le seducteur a ainsi la possibilité d’anticiper les réponses de la belle. Son rendement étant nettement supérieur à celui des deux autres, c’est cette forme d’approche normative que vous pourrez étudier avec un coach en seduction comme Patrick Harris.